Match de foot tragique pour une fillette de 11 ans, cette petite imprudence qui se termine en drame

L’augmentation de volume de la prostate n’est pas exclusivement associée au cancer prostatique. Il est important de noter que certains hommes peuvent présenter simultanément un cancer de la prostate et une hypertrophie bénigne. Il convient donc de faire établir un diagnostic précis par votre médecin.

Les symptômes de cancer de la prostate

Les signes associés à l’augmentation de la prostate incluent un besoin fréquent d’uriner, surtout la nuit (pollakiurie), un jet d’urine faible, une sensation de vessie non complètement vidée, des fuites urinaires (incontinence), des infections urinaires telles que cystite, prostatite ou pyélonéphrite, des difficultés ou une impossibilité d’uriner (rétention urinaire), la présence de sang dans les urines ou le sperme, des difficultés érectiles, et des douleurs lors de l’éjaculation.
Lors de la consultation, le médecin procède à un entretien approfondi avec le patient pour évaluer son état de santé global, explorer ses antécédents personnels et familiaux (notamment en ce qui concerne le cancer de la prostate) et identifier tout symptôme pouvant indiquer une anomalie de la prostate. Par la suite, il réalise un examen clinique incluant le toucher rectal.

Le toucher rectal

Le médecin effectue une palpation de la prostate en insérant son index, protégé par un gant, dans le rectum. Cette procédure médicale vise à évaluer le volume, la surface et la consistance de la prostate. En cas d’irrégularités de surface ou de présence de nodules, ainsi qu’une consistance dure, le médecin peut soupçonner la présence d’un cancer.

De nombreux facteurs prédisposent au cancer de la prostate, parmi lesquels l’âge occupe une place prépondérante, la prévalence de cette maladie augmentant significativement chez les hommes de plus de 50 ans. Une prédisposition héréditaire est également constatée, avec un risque accru chez ceux ayant au moins deux parents proches atteints. Actuellement, l’influence du patrimoine génétique dans l’apparition du cancer de la prostate est fortement suspectée, comme en témoignent les probabilités plus élevées chez certaines populations telles que celles d’Amérique du Nord, d’Europe du Nord et des Afro-Antillais.

Lire la suite en page suivante

Laisser un commentaire