On adore sa présence. Mais quand-même, il y a des jours où l’on se dit que la vie avec lui n’est pas toujours de tout repos ! Comment faire passer ces manies qui nous agacent ? Quatorze problèmes et leurs solutions. Pourquoi mon chat ravage le canapé ? Qu’il soit seul ou pas, il s’acharne sur le canapé. On dirait même qu’il prend un soin particulier à planter ses griffes en profondeur pour bien transformer le cuir en lambeaux… D’où vient le problème ? Non, il ne se moque pas de nous, il a juste un point de vue différent. Peu importe la valeur du canapé, le chat n’a qu’une idée en tête : déposer son odeur corporelle (via des glandes podales situées entre les coussinets et les pattes) sur ce qu’il considère être son territoire, pour décourager d’éventuels rivaux !

On vérifie sa courbe de poids avec l’aide de son vétérinaire, qui peut proposer un régime à base de croquettes allégées en graisses et enrichies en protéines. On lui fait faire de l’exercice en jouant avec lui 10 à 15 mn par jour, et on transforme l’appartement en salle de jeux en mettant à sa disposition toutes sortes d’objets (mobile, bouchon de liège, jouets pour chats…) avec lesquels il peut s’occuper en notre absence.
Pourquoi mon chat tête mes pulls en cachemire ?
Dès qu’il est dans nos bras, il fait le chaton. Il peut téter la peau, mais il a une préférence pour la laine : c’est ce que les anglo-saxons appellent le « wool sucking syndrome », littéralement le syndrome du suceur de laine.

D’où vient le problème ?

Il a sans doute été séparé de sa mère avant 8 semaines, sans qu’elle n’ai eu le temps de le sevrer, et reproduit le comportement d’un chaton avec ses maîtres. Rien de très grave, sauf si la tétée est associée à un stress, et que le chat se lèche de façon compulsive (au point de provoquer des lésions).

On branche un diffuseur de phéromones apaisantes. Et si le stress persiste, on consulte un vétérinaire comportementaliste qui pourra prescrire des anxiolytiques.

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